expositions

Expositions personnelles

Solo shows

Muda, Muri, Mura

Centre d’art contemporain La Halle des bouchers, Vienne 2016

Continuous improvement

Galerie Eva Meyer, Paris 2016

Indices de réfraction

galerie Eva Meyer, Paris
 2013

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"L’exposition « Indices de réfraction » convoque la figure du mirage : phénomène de réfraction des rayons lumineux, le mirage n’est pas une perception erronée de la réalité mais un phénomène naturel réel à fort potentiel poétique. Il est une interprétation nouvelle que subit une réalité ; un moyen de plus de défier des lectures univoques de notre société. En cette période d’expansion technologique marquée par la numérisation et la dématérialisation, pouvons nous toujours faire confiance à nos perceptions ?"

Une exposition des Commissaires Anonymes.

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Global Repositionning System

la Gaité Lyrique, Paris, 2012

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"Charles Beauté et Juliette Goiffon ont imaginé pour les Éditions Extraordinaires des livres et des objets conçus et fabriqués dans une volonté de repenser les techniques et les matériaux qu’ils convoquent, et surtout d’en repousser les limites. Toujours dans l’expérimentation, de la petite imprimante de bureau à la sérigraphie ou l’impression 3d, ils cherchent à réinventer une manière de produire pour chacune de leurs éditions. Utilisant l’humour, le jeu, la dérision, l’analyse de données brutes et la poésie, ils font des allers-retours entre cartographie, livres, installations, objets 3D pour imaginer d’autres types de supports de lecture et d’information."

en voir plus sur le site de la Gaité Lyrique

vue de l’exposition Global Repositioning System vue de l’exposition Global Repositioning System vue de l’exposition Global Repositioning System

Expositions collectives

Group shows

Work it out

Kunsten museum, Aalborg, Danemark 2021

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Et toi, tu fais quoi dans la vie ?

galerie Jeune création, Romainville 2020

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avec : Bianca Argimón, Jean Claracq, Claude Closky, Jimmie Durham, Goiffon & Beauté, Ali Kazma Martin le Chevallier, Ariane Loze, Julien Prévieux, Thomas Tudoux, Florian Viel et Thomas Wattebled

L’exposition Et toi… tu fais quoi dans la vie ? invite à s’interroger sur notre relation au travail et notre rapport au temps. Cette phrase d’approche aussi insignifiante qu’embarrassante est sémantiquement emplie de sous-entendus. Si de prime abord elle peut laisser penser qu’un intérêt particulier est porté à l’interlocuteur, elle révèle parfois un besoin de se situer dans la hiérarchie sociale. Secteurs d’activités, responsabilités et objectifs sont au cœur du sujet.
Abordant avec ironie un système où l’acharnement au travail, les heures supplémentaires et la compétition sont la norme, une partie des artistes exposés imagine des mises en scène absurdes et des situations cocasses ancrées dans un monde devenu fou en raison de surmenages professionnels. D’autres questionnent le marketing du bien-être et la façon dont le développement de soi peut être utilisé à des fins d’optimisation des capacités mentales et physiques.
Interrogeant les potentiels du temps tout en décortiquant le vocabulaire plastique et linguistique du monde du travail, les artistes de l’exposition dévoilent de manière polysémique ce déséquilibre croissant entre épanouissement personnel et burn-out ; je-m’en-foutisme et addiction au travail. Les œuvres sélectionnées attirent ainsi le regard sur des dérives professionnelles devenues lieux communs, tant elles sont intégrées dans nos mécanismes sociétaux.
Pauline Coste & Coralie Gelin

My body.com

Nest, la Haye, Pays-Bas 2019

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The exhibition MYBODY. COM reflects on the body as a battlefield of power structures. It exhibits the human body as a map, leading the way through historical events, rulers and market systems. The exhibition not only looks at how political structures of the past affect the bodies of those who live and work today. It also focuses on the future in order to visualize the role assigned to the body in a world that is becoming more and more analytical, abstract and mainly digital.

Avec : Alexis Blake, Köken Ergun, Christian Jankowski, Patricia Kaersenhout
Jenny Lindblom, Shana Moulton, Richtje Reinsma, The Rodina, Suzie van Staaveren, Bas de Wit

Espaces liquides

Parc Saint-Léger hors les murs → Forges Royales de Guérigny 2018

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En partenariat avec le centre d’art contemporain Parc Saint Léger de Pougues-les-Eaux, les Forges royales de Guérigny présentent "Espaces liquides", exposition visible du 2 au 29 novembre 2018. En prolongement de l’exposition Genius Loci actuellement en cours au Parc Saint Léger, cette exposition propose d’interroger les notions de lieu et d’in-situ à l’heure du tout numérique avec des œuvres de Riccardo Benassi, Amélie Bertrand, François-Noé Fabre, Goiffon & Beauté, Pieter Van Der Schaaf.

Suite à la diffusion d’Internet, la convergence entre espace virtuel et espace physique a radicalement bouleversé l’appréhension classique des notions d’espace et d’architecture.

Dans son essai Nous, les enfants du Web, l’écrivain polonais Piotr Czerski, affirme qu’Internet n’a rien d’un espace virtuel, nous n’y "surfons" pas à l’intérieur car "Internet n’est pas une chose extérieure à la réalité mais en fait partie intégrante : une couche invisible mais toujours présente qui s’entrelace à notre environnement physique, une sorte de seconde peau". Ainsi, la dichotomie entre réel et virtuel semble perdre du terrain.

En prenant acte d’une telle hybridation, les artistes ici réunis placent le spectateur dans des espaces résolument abstraits. Mais il s’agit aussi de lieux mentaux interchangeables, standardisés, générant une sorte de sensation de déjà-vu, une impression de dédoublement ambigu – autant d’espaces liquides aux contours incertains.

L’Éloge du carburateur

Le Printemps de septembre, Toulouse 2018

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commissaires : Marc Bembekoff et Garance Chabert

avec : Cao Fei, Nicolas Momein, Sonia Kacem et Maxime Lamarche

La Carrosserie Sérignac accueille Éloge du carburateur, une exposition collective dont le titre s’inspire de l’ouvrage de Matthew B. Crawford (2010) sur la valeur du travail manuel. Flottant entre le souvenir d’un lieu dédié à l’un des emblèmes de la société industrielle (l’automobile et ses cylindrées rutilantes) et la destruction imminente de ce site (symptomatique de la gentrification citadine), ce projet met en perspective un ensemble de propositions artistiques autour des mutations du travail dans l’économie capitaliste.

Les nouvelles technologies, qui prolifèrent, induisent un rapport inédit d’interrelations et suscitent l’esprit d’initiative. Promettant de nouvelles méthodes participatives répondant aux moindres besoins et désirs du travailleur/consommateur en quête d’épanouissement personnel, la nouvelle économie s’appréhende par une esthétique de la surface et du lisse dont se jouent les artistes. En contrepoint, une affirmation du « faire » se retrouve chez certains d’entre eux qui privilégient un usage fort et direct du matériau – où le « fait-main » se confronte à l’« industriel ». Elle fait écho à l’idée répandue que l’avenir du travail se ferait potentiellement par un retour vers le passé. Dans ce bâtiment lié à l’industrie et voué à disparaître, c’est bel et bien le lieu qui donne le La.

Éloge du carburateur est une proposition curatoriale pensée dans une réflexion plus large sur la mutation de lieux industriels en friches culturelles, et la transformation d’une économie centrée sur la production d’objets en masse à un capitalisme de l’enrichissement culturel et symbolique d’expériences privilégiées.

Do disturb : L’Institut d’Esthétique

Palais de Tokyo, Paris 2018

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Commissaires : Haily Grenet, Emile Degorce Dumas et Vincent Voillat.

Avec : Julie Béna / Aïda Bruyere / Lorette Cole Duprat / Emile Degorce Dumas / Caroline Delieutraz / Wim Delvoye / Virginie Dinier / Mathilde Fernandez & Cecile Di Giovanni / Matthias Garcia / Goiffon & Beauté / Julie Le Guern / Elsa Lefebvre / Claude Lévêque / Elsa Philippe / Maxime Rossi & Guests / Agathe Soumireu-lartigue / Vincent Voillat / Yarisal & Kublitz / Francois X & Laura O’rorke / Le Wonder (Guillaume Gouerou, Nelson Pernisco, Basile Peyrade, Simon Nicolas, Maxime Fourcade) & Guests / Collectif WASTEBAND & Pauline Payen.

Inspiration transpiration

MAC, Créteil 2018

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une proposition du Syndicat Magnifique

Avec Nils Alix-Tabeling, Rémy Brière, Gaëlle Choisne, Chloé Delarue, Dimension Émotionnelle, Quentin Euverte, Goiffon & Beauté, Raphaël Moreira Gonçalves et Kevin Senant
inspiration transpiration annonce, par son titre, l’intention d’inscrire les processus créatifs dans un environnement matériel et social de l’artiste, entendu comme écosystème de travail. L’exposition se donne comme point de départ la prise en compte des différents facteurs qui informent le travail des jeunes plasticiens : conditions matérielles précaires, formes collaboratives à différentes échelles, dispositifs de plus en plus ouverts et variés de monstration et de déploiement. L’exposition cristallise ce mouvement de balancier, qui lie la collection de données et de matières à leur sudation glaireuse en un précipité artistique singulier.

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Organisée en un système d’îlots organiques, inspiration transpiration prend à contrepied la conception habitudinaire de l’exposition collective, qui associe une à deux pièces de chaque artiste représenté dans un espace unifié. Déjouant un geste curatorial qui interprète et agence, le Syndicat Magnifique isole les travaux des artistes invités en créant une succession de monographies immersives dans les espaces de circulation de la Maison des Arts de Créteil.

Le projet est né de l’invitation d’un collectif, (LA)HORDE (Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, artistes associés à la Maison des Arts) à un autre, Le Syndicat Magnifique (composé de trois commissaires d’exposition et d’une artiste, Thomas Conchou, Anna Frera, Victorine Grataloup et Carine Klonowski). Prolongeant ce mouvement d’invitation et d’inclusion, le Syndicat Magnifique propose à l’artiste Raphaël Moreira Gonçalves de s’associer à la conception de l’exposition dans sa scénographie et son parcours. En résidence à la MAC, il conçoit une installation spécifique par contamination, s’immisçant dans les expositions-îlots des huit artistes et collectifs qui s’approprient les espaces périphériques à la présentation de l’oeuvre chorégraphique de (LA)HORDE.

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L’ambition première - l’inspiration - se heurte ici aux réalités matérielles des jeunes artistes. La volonté de constituer de petites monographies rétrospectives est entravée par la difficulté, principalement d’ordre économique, à conserver l’intégralité de la production antérieure. Elle est bien souvent détruite par le manque d’espaces de travail et de stockage, ou recyclée dans un mécanisme révisionniste de réécriture de pratiques en constante évolution.
Paradoxalement, la séparation des productions permet de souligner des liens de communauté évidents entre les artistes. Outre leur proximité générationnelle, ils engagent une réflexion commune sur l’évolution des techniques plastiques et numériques et leur appropriation par l’art : vidéo, installation, néo-craft, réalité augmentée et futur des outils de travail et de communication se côtoient dans un mouvement de compréhension mutuelle. Les liens intellectuels redoublent ceux, préexistants, de communauté sociale - collaborateurs, amis et amants se côtoyant avec désinvolture dans l’exposition.
La déambulation dans cet archipel formalise un réseau, dense enchevêtrement d’artistes, d’amis et de professionnels de l’art qui génère une sensation d’intelligence collective et suggère des pistes de réflexion quant aux rapports que l’art et la société peuvent et doivent entretenir.

Sunday Scaries

Galerie 22,48m2, Paris 2017

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une proposition du Syndicat Magnifique

Après une longue semaine de travail suivie d’un samedi soir-exutoire, le dimanche devient le temps ritualisé d’une molle remise en question existentielle. Traîner toute la journée au lit, regretter ses décisions passées, penser avec frayeur à un avenir peu sûr depuis un présent précaire. Les Sunday scaries désignent, dans le registre familier, cet état émotionnel passager et troublant lié à un éloignement momentané - mental et/ou physique - de la routine quotidienne pendant le week-end. L’anxiété et l’appréhension causées par la réintroduction au monde et à ses exigences - productivité, responsabilité politique, sociale et affective - traversent les oeuvres réunies dans l’exposition.
Rester enfermé.e chez soi, se dédier dans la torpeur à des activités solitaires amène un singulier contentement de l’ordre de l’apitoiement nombriliste. Cette douceur paradoxale est néanmoins compromise, tant par la conscience de la fin imminente de cet exil volontaire que par le sentiment de culpabilité de déroger à l’injonction de bien-être et d’accomplissement de soi qui se faufilent dans le cocon domestique. Dans une société qui encense l’agir et la sociabilité, le repli passif sur soi oscille entre malaise et jouissance.
L’envie de rester à distance du monde encore quelques heures est minée par la tentation habitudinaire de se jeter sur son téléphone ou son ordinateur, interfaces par lesquelles les réalités extérieures assiègent l’espace privé. Devant de récents développements politiques, liés à l’ascension déjà ancienne de mouvements conservateurs et isolationnistes, le risque (la tentation ?) de rester hébété.es est grand.
C’est ce sentiment paralysant d’incertitude, d’illégitimité, cette effrayante mélancolie que Sunday Scaries souhaite évoquer.

Work it, feel it

Kunsthalle, Vienna 2017

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Avec : Apparatus 22, Hannah Black, Danilo Correale, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Louise Hervé & Chloé Maillet, Shawn Maximo, Sidsel Meineche Hansen, Toni Schmale, Romana Schmalisch & Robert Schlicht, Visible Solutions

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Comme les chûtes d’eau déjà tremblent dedans la source

Espace arts-plastiques, Vénissieux 2017

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Avec les oeuvres de : Bertille Bak, Yves Bélorgey, Zoé Benoît, Alain Bernardini, Matt Coco, Cécile Dupaquier, Anne-Valérie Gasc, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Suzanne Husky, Karim Kal, Camille Llobet, David Posth-Kohler, Ernesto Sartori, Efrat Shvily, Mirjana Vodopija

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Métalangue

ISELP, Bruxelles 2017

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Les œuvres présentées dans cette exposition interrogent la place du langage dans le travail et dans la communication, et mettent en question l’usage des outils, des modèles et des codes visuels, autant que linguistiques.
Au sein de ces dispositifs régis par les logiciels, les méthodologies et les emplois du temps, comment s’inventent malgré tout des contenus inédits et des formes expérimentales ?

Avec les œuvres de Camille Bondon, Sofia Caesar & Luiza Crosman, Clôde Coulpier, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Lola Pertsowsky, Joséphine Kaeppelin, Lich/sprot 2000, Maud Marique, Eona Mc Callum, Grégoire Motte & Gabriel Mattei, Yoann Thommerel et Vikhi Vahavek.

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Still life

Parc Saint-Léger hors les murs, Lycée Raoul Follereau, Nevers 2016

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Avec : ALAIN DELLA NEGRA & KAORI KINOSHITA, ALIX DESAUBLIAUX, MIMOSA ECHARD, GOIFFON & BEAUTÉ, LAUREN HURET, TIZIANA LA MELIA & TAMARA HENDERSON, PABLO REOL, STEPHANIE SAADE

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Art Genève

Palexpo, Genève, 2016

Jeune Création

Galerie Thaddaeus Ropac, Pantin 2016

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Ce rendez-vous annuel et associatif établit une cartographie de la création émergente. Pour la 66e édition, 60 projets inédits accompagnés d’une programmation événementielle composeront un paysage original, reflétant la pluralité des pratiques contemporaines.

Double jeu

Galerie Eva Meyer, Paris
, 2015

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Avec : Stéphane Berard, Werner Büttner, Michel de Broin, Josquin Gouilly Frossard, Séverine Hubard, Joséphine Kaeppelin, Matt Lipps

Variation art fair

FIAC off, espace des Blancs Manteaux, Paris 2015

Possibles d’un monde fragmenté

Palais des beaux-arts, Paris, 2014

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Une exposition d’Enrico Lunghi avec Marvin Aillaud, Margaux Bricler, Jeanne Carminati, Caroline Corbasson, Coline Cuni, Benjamin Efrati, Marin Esteban, Mara Fortunatovic, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Ségolène Haehnsen, Woo Jung Hoh, India Leire, Anne-Catherine Le Layo, Elise Mazac, Caroline Mesquita, Camille Rosa, Giorgio Silvestrini, Boram So, Raphaël Tiberghien.

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Marqués par une image

L’Abbaye d’Annecy-le-vieux, 2014

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Une exposition de Caroline Delieutraz et Géraldine Miquelot avec : Pauline Bastard, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Oliver Laric, Hélène Moreau, Marianne Muller, Estefania Peñafiel Loaiza, Jon Rafman, Jean-Luc Verna.

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Neues aus Frankreich

Galerie Marion Meyer Contemporain, Francfort, 2013

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Une exposition thématique qui regroupe des œuvres d’artistes du 20 ème et 21 ème siècle, avec : Emmanuelle Boccou, Olivier Dollinger, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Jan Kopp, Rainier Lericolais, Anita Molinero.

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Modifications

ZKU, Berlin, 2013

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Une exposition de Lucia Schreyer, avec : Clémentine Adou, Tekla Aslanishvili, Eva Barto, Manon Bellet, Caroline Bittermann, César Chevalier, Victor Daamouche, Laura Dechenaud, Dennis Feddersen, Michel François, Franziska Furter, Hadrien Gérenton, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Gabriel Haberland, Hervé Humbert, Jeroen Jacobs, Jean-­Baptiste Janisset, Lennart Krauss, Nicolas Moulin, Chihying Musquiqui, Timo Nasseri, Paul Paillet, Andrea Pichl, Loup Sarion, Pierre Spencer, Victoire Thierée, Romain Vicari Florian Viel, Albert Weis, Elsa Werth

La chute observée La chute observée

58e salon de Montrouge

le Beffroi, Montrouge, 2013

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Reflet de la création contemporaine, cette sélection 2013 sera soumise aux regards expérimentés de figures de la scène internationale de l’art contemporain. L’artiste Théo Mercier, découvert au 54e Salon de Montrouge sera l’invité d’honneur, et le jury sera présidé par la zurichoise, Bice Curige, critique d’art et commissaire indépendante auprès du Kunsthaus de Zurich.

www.salondemontrouge.fr

vue du salon de Montrouge vue du salon de Montrouge

Reach out and touch someone

galerie NaMiMa, Nancy, 2013

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"Avec l’intuition que nos environnements actuels sont marqués de dispositifs médiatiques toujours plus instantanés et de moyens de communications toujours plus connectés, nous cherchons à identifier les contrastes d’échelles spatiales et temporelles qui troublent notre quotidien. L’exposition Reach out and touch someone présentera une sélection de pièces repères, balisant nos empreintes individuelles et collectives sur le présent."

Une exposition des Commissaires anonymes, avec : Simon Asencio, Neal Beggs, Vincent Broquaire, Caroline Delieutraz, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Julien Grossmann, Albertine Meunier, Marine Peixoto, Jia Qiu

voir le tumblr de l’exposition

vue de l’exposition Reach out and touch someonevue de l’exposition Reach out and touch someonevue de l’exposition Reach out and touch someone

Les Cascades de l’infraréel

Xpo gallery, Paris, 2012

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"
Nous avons observé l’obstination de ces artistes-inventeurs à surpasser la réalité pour avancer dans leurs recherches. L’infraréel est le territoire de leurs expériences ; un espace où les fictions fantasmatiques versent dans l’expérimentation la plus immédiate, sans compte à rendre à la réalité. L’illusion participerait-elle alors de l’innovation ?"

Une exposition des Commissaires Anonymes, avec : Vincent Broquaire, Caroline Delieutraz, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Joséphine Kaeppelin, Andrew Friend & Sitraka Rakotoniaina, Paul Souviron, Cédric Quissola, Jan Vormann.

voir le dossier de presse

visuel de l’exposition Les Cascades de l’infraréel vue de l’exposition Les Cascades de l’infraréel

Backstage

galerie Backslash, Paris, 2012

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Le commissariat de cette exposition a été confié à Mathieu Mercier qui a choisi de réunir autour de lui les plasticiens, stylistes, architectes et graphistes, ayant travaillé avec lui par le passé, autour du thème de la relation à l’espace exprimé à travers les formations de chacun. L’exposition s’articule autour de la relation à l’objet, et plus particulièrement l’objet de consommation, et son mode de production. Les œuvres présentées relèvent de la dimension domestique de chacune d’entre elles. Le spectateur se trouve plongé dans le cadre de la vie privée, à travers plusieurs ensembles qui se répondent dans l’héritage des avant-gardes artistiques, notamment l’héritage duchampien.

Une exposition avec : Mehdi Abbioui, Pierre Antoine, Enrico Assirelli, Laura Bru, Astrid de Cazalet, Amélie Forestier, Wei Hou, Laurent Kropf, Juliette Goiffon, Clarence Guena, La Ville Rayée, Thomas Muller, Nicolas Mussche, Noëlle Papay, Pierre Paulin, François-Thibaut Pencenat, Frédéric Pradeau, Simon Ripoll-Hurier, Loup Sarion, Mathias Schweizer, Xavier Theunis, Virginie Thomas, Aldéric Trevel, Nicolas Tubéry.

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vue de l’exposition Backstage

Le Monde pittoresque des castors

galerie Octave Cowbell, Metz, 2011

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"Au delà de la description objective, l’image pittoresque raconte les effets que produisent une réalité trompeusement authentique. Cette impression de « vrai » d’une vue, d’un moment ou d’un objet fait souvent référence à des images préconçues ou existantes. Méticuleux et obstinés, les artistes de cette exposition se sont attelés à reproduire des bribes significatives du monde actuel. Sans fard, ils maîtrisent chacun les règles de ce jeu de distance entre l’originalité du sujet et de sa reproduction."

Une exposition des Commissaires Anonymes, avec : Vincent Broquaire, Juliette Goiffon & Charles Beauté, Camille Grosperrin, Clara Prioux.

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visuel de l’exposition Le Monde pittoresque des castors